L’IRLANDE – 22 au 29 juin 2024

samedi 22 juin 2024
Rêves d’Irlande :
Nous sommes prêts à réaliser notre rêve : cette terre de légendes et de paysages époustouflants, de prairies verdoyantes, de falaises majestueuses. Nous allons  découvrir la riche culture celtique, la musique traditionnelle, l’ambiance des pubs et la bière qui coule à flots. On y est : demain découverte de Dublin
Francette

dimanche 23 juin
Jour 2 : Dublin – Premiers pas sur l’île d’Émeraude
Après une nuit dans un hôtel proche de Dublin, en route pour notre première journée sur l’île d’Émeraude…
Notre guide Katarina se présente dans un excellent Français. D’origine russe, elle a étudié dans des écoles françaises de son pays d’origine. Elle vit en Irlande depuis une quinzaine d’années.  Pendant le séjour, ses compétences et son humour se confirmeront. Elle commence par une présentation générale du pays. Dublin : 1,3 M habitants, 2 langues : Irlandais et anglais, avec des indications routières en langue gaélique aussi. On plonge donc dans ce pays millénaire descendant des Vikings.
Notre chauffeur Tom dit Tommy, nous emmène pour un tour panoramique dans la capitale. Katarina nous montre au-dessus du fleuve Liffey, un pont en forme de harpe, un des emblèmes du pays avec le trèfle, rappelleront les rugbymen !
Voici ensuite la statue de Daniel O’Connel, un homme politique du 19e très aimé du peuple. Arrêt photo dans une quartier dit « géorgien » ou des rois Georges, devenu aujourd’hui le quartier des ambassades. Nous remarquons de jolis parcs. Certains, privés, pouvaient à une époque être fermés et réservés aux loisirs de certaines familles.

Nous verrons encore de l’extérieur, la cathédrale Saint-Patrick dédié au saint-patron de l’Irlande et l’église du Christ, datant toutes deux du XI e siècle
Deux styles aux arcs voûtés du roman ou aux arcs pointus du gothique pour St-Patrick. C’est dans cette dernière qu’on a joué pour la première fois en 1742 le Messie de Haendel.
Un passage au grand Parc Phoenix, le plus grand d’Europe, paraît-il, rappelant en partie notre « Bois » de Vincennes. Un potager avec des variétés anciennes. Mais on y croise aussi des joggers. C’est enfin un lieu de rencontre des familles.
Grand moment très attendu d’une bonne partie du car : la visite de la brasserie Guinness, datant de 1759, une cathédrale de la bière. Nous retiendrons la superbe architecture de l’usine Guinness avec des grands alambics rutilants. Nous aurons droit à une dégustation. Ici la Guinness « rousse » est la reine. La première production remonte à 1929 avec la célèbre « Toucan ».
Encore un tour devant le Château de Dublin dit aussi le Palais où Katarina nous apprend que le pays compte 32 comtés. Après une halte à Athlone, charmante cité construite sur les rives du fleuve Shannon, cap à l’Ouest vers Galway (80 000 hab.). Sur la route, nous évoquerons encore les tourbières. La tourbe, ancienne richesse du pays, servait au chauffage des maisons. Désormais, ces terres sont protégées comme zones humides.
C’est l’occasion d’évoquer, pour la première fois, la grande famine de 1845.
Notre voyage commence et déjà on devine le fond de l’âme irlandaise.
Des gens courtois, généreux, forts devant l’adversité et accueillants. Une anecdote le confirme en fin de journée. À l’un d’entre nous qui demandait la route vers l’océan, une dame, près de l’hôtel, offre spontanément de l ’emmener avec sa voiture…
Une bonne ambiance s’installe dans notre groupe après ce premier jour, sous le soleil. Premier miracle irlandais.
René Lechon

lundi 24 juin
Jour 3 : Le Connemara
Le Connemara est situé dans le comté de Galway à l’ouest de l’Irlande. Les paysages sont « sauvages » et préservés : monts, lacs et tourbières. Galway, ville portuaire, est traversée par le fleuve Carrib qui termine son parcours dans l’océan atlantique. La cité possède de nombreux pubs traditionnels où l’on peut déguster les bières locales en écoutant des concerts de musique traditionnelle Irlandaise.
Les symboles du pays se retrouvent un peu partout : le trèfle à trois feuilles associé à Saint Patrick, évangélisateur et saint patron du pays qui est fêté dans le monde entier le 17 mars, le vert et le trèfle sont à l’honneur ce jour là. Mais il ne faut pas oublier Sainte Brigitte connue pour sa grande générosité et qui participa activement au développement du christianisme. Autre symbole marquant du pays, la harpe dite celtique. Elle possède un répertoire propre né de l’époque où elle était l’instrument des musiciens ambulants.
L’après-midi est réservé à la visite de l’Abbaye de Kylemore, abbaye bénédictine qui fut fondée en 1920 sur le site du château de Kylemore, avec ses jardins victoriens et son église néo-gothique de culte catholique. C’est Mitchell Henry, parlementaire, qui acheta Kilemore Lodge, un relais de chasse en 1862 et entreprit d’y construire son château ainsi que des bâtiments permettant d’améliorer les conditions de vie des villageois très marqués par « la grande famine » (période couvrant 1845 à 1852) fut d’une ampleur inégalée et désastreuse tant les méthodes agricoles étaient inadéquates. Les plantations de pommes de terre, aliment de base de la majorité de la population furent ravagées par le mildiou, plongeant le pays entier dans le désarroi et la détresse et entrainant une disette au cours de laquelle des familles entières moururent de faim tandis que d’autres émigrèrent à travers le monde et principalement aux Amériques.
A l’issue de cette magnifique visite, nous retournons sur la ville de Galway et sa visite panoramique qui nous permit d’apprécier sa beauté et son charme.
Marylène DELIGNE

mardi 25 juin
Jour 4 : Burren – Tralee
Nous quittons Galway  (Comté de Clare) pour rejoindre la ville de Tralee (Comté de Kerry), accompagnés par Katarina notre super guide et Tommy (alias Tom Cruise) notre sympathique chauffeur.

La météo est clémente, notre groupe en forme et toujours de bonne humeur.
En longeant le golfe de Galway, nous apercevons de petits cottages aux toits de chaume, des maisons aux façades peintes de couleurs vives. On distingue aussi des “Tower House” tours de guet, construites sur le modèle des tours génoises par les Anglais le long des côtes, certaines sont transformées en chambres d’hôte ou en restaurants.
Nous profitons des commentaires toujours intéressants de notre guide, aujourd’hui niveau de vie des irlandais (salaires, impôts, droits des chômeurs et des retraités), éducation (scolarité, cursus scolaires, mode de garde), aides sociales.
Nous prenons la route touristique du Wild Atlantic Way et entrons dans la région du Burren, formation karstique au paysage lunaire d’environ 300 km2 de superficie et 300 m de haut.
Sur notre gauche le relief vallonné est composé de roches et de pâturages, à droite l’océan. Ces roches grises qui présentent des crevasses et des fissures, constituent un immense pavement rocheux.
Au cours de l’arrêt photo, il faut cheminer prudemment sur ce relief accidenté pour aller au plus près de l’océan. Toutes sortes de fleurs sauvages poussent au creux des roches qui absorbent les eaux de pluie et emmagasinent la chaleur du soleil ; chaleur restituée pendant la saison froide et qui permet au bétail de pâturer en hiver.
Nous longeons toujours la route côtière très étroite et bordée de murets en pierre sèche pour une halte à Lisdoonvarna, cette ville organise chaque année la foire aux célibataires et accueille des personnes de tous âges et toutes nationalités.
Nous sommes attendus au “BURREN SMOKHOUSE” fumerie de saumon, propriété de Birgitta et Peter depuis 35 ans.
Après projection d’une courte vidéo, une responsable du site nous expose le mode d’élevage naturel des saumons qui grandissent dans d’immenses cages immergées en mer. Quand ils atteignent le poids de 4 kg, ils sont conditionnés :  les filets sont prélevés, salés et fumés à plat aux copeaux de chêne et un peu de tourbe.
Deux préparations de fumage : à froid (nature ou assaisonnée aux algues séchées) qui est la plus longue, ou à chaud (nature ou assaisonnée aux épices et aromates).
A l’issue de cet exposé, une dégustation nous permet d’apprécier la qualité des produits :  ma préférence ira à la préparation à froid, le tout arrosé d’un verre de vin blanc.
Birgitta présente plusieurs produits dans sa boutique ; des commandes peuvent se faire à partir du site   internet.
Nous reprenons notre route pour les falaises de MOHER : longueur 8 km, hauteur de 180 à 215 mètres. Elles sont classées au “Géoparc Mondial de l’Unesco”.
On constate une très grande affluence sur le site qui propose plusieurs sentiers de découverte, le centre d’accueil des visiteurs et quelques boutiques.
Nous empruntons le chemin sécurisé qui permet d’accéder aux points de vue imprenables sur les falaises, elles sont spectaculaires. Le temps est idéal, on apprécie le contraste des couleurs : celui de la roche grise striée, le vert intense des pâturages alentours. La mer est calme, on peut apercevoir les iles d’Aran.
Prochaine étape LAHINCH située en bord de mer pour la pause déjeuner, on comptabilise dans cette ville  5 parcours de golfs dont un est la propriété de Donald Trump.
L’aller-retour pour le restaurant se fait à pied par la promenade du bord de mer.
Au retour et bien rassasiés, nous profitons de la vue sur Lahinch Beach.
La plage est belle, sans forte affluence, la mer est calme, la marée basse.
On aperçoit des surfeurs, quelques rares baigneurs (la température de l’eau est à 15°, mais notre guide s’est baignée pendant la pause déjeuner). On profite de la douceur du soleil ….
Mais nous devons reprendre la route pour Killimer.
Nous franchissons “Spanish Point” prénommé ainsi en l’honneur des vaisseaux espagnols de “ l’Invincible Armada” opposés aux forces anglaises, qui coulèrent en se repliant au large des côtes, du fait d’une forte tempête et de leur inexpérience en matière de navigation dans les eaux  irlandaises.
A Killimer nous embarquons sur le ferry pour franchir l’estuaire du fleuve Shannon en 20 mn, et entrons dans le comté de Kerry pour rejoindre la ville de Tralee, où nous séjournons deux nuits à l’hôtel Brandon.
En fin d’après-midi ou après le repas, certains profitent d’une promenade dans le beau parc situé près de l’hôtel, et admirer sa collection de 35 variétés de roses.
D’autres préfèrent l’ambiance festive des pubs.
En  conclusion très belle journée !
Claudine GARCIA

mercredi 26 juin
Jour 5 : périple au pays de la Verte Erin
Après notre traditionnel petit déjeuner irlandais (que j’apprécie beaucoup), nous partons en direction du comté de Kerry  (du royaume de Kerry comme disent ses habitants) et de la péninsule de Dingle.
Pendant le trajet, notre guide Ekatarina (d’origine russe, parlant très bien le français et…l’anglais) nous renseigne sur le mode de vie et les traditions de l’Irlande. Au programme de la matinée : les sports traditionnels et la langue gaélique.
Les deux principaux sports sont le hurling et le football gaélique avec le  handball gaélique et le rounders.. Ces sports très physiques, sont organisés par l’GAA (Association athlétique gaélique). La volonté est de garder les traditions et de rejeter l’influence anglaise.
La langue gaélique fait partie des langues celtes insulaires. Les formes de gaélique les plus anciennes sont des inscriptions sur des colonnes ou des pierres dressées réalisées avec l’écriture oghamique (IVe siècle avant JC : sortes de hiéroglyphes, alphabet des arbres).
Le gaélique est la première langue nationale où sa valorisation fait l’objet d’un combat politique face à l’usage dominant de l’anglais (souvenir du comportement de nombreux propriétaires terriens lors de la Grande Famine (1845) dans le sillage des lois pénales draconiennes promulguées en 1691contre les catholiques, à peine atténuées en 1778 par le Gardiner’s Act. L’étude du gaélique est obligatoire pour les enfants nés sur le sol irlandais.
Dublin en gaélqie : Baile Atha Cliath : la ville du gué aux claies.
En milieu de matinée, nous faisons une halte photos sur la plage de Inch (pavillon bleu) au cours de laquelle nous avons la surprise de voir notre guide se baigner !!
Nous faisons la connaissance historique de Saint Brendan, le Navigateur qui s’est aventuré sur l’Océan Atlantique sur une petite barque avec quelques moines vers 530.
Nous apercevons plusieurs îles : Skellig Michael, les îles Blasket, refuge de colonies de fous de Bassan et de macareux.
Au déjeuner, nous dégustons un shepherd’s pie, sorte de hachis Parmentier avec une farce mélangée de viande et de légumes (carottes, céleri, petits pois) et un « carrot cake ».
Ensuite, nous prenons la direction de l’Oratoire de Gallarus : édifice construit en pierres sèches au VIIIe siècle en forme de bateau renversé.
Notre chauffeur, Tommy « Cruise » conduit son bus avec précision sur les routes étroites et bordées de fuschias en fleurs dans la campagne verdoyante.
Nous arrivons à l’église de Kilmalkedar de style roman autour de laquelle notre guide nous fait chercher des pierres gravées, une croix pré-chrétienne, un menhir avec une inscription oghamique, un cadran solaire fonctionnant avec l’ombre portée d’un bâton.
L’après-midi, le temps change et nous offre une pluie irlandaise en même temps que Francette nous annonce une modification importante pour notre trajet de retour due à la grève des pilotes de Aer Lingus…. Nous terminerons notre voyage par une croisière inattendue ! mais j’imagine le stress sous le calme apparent.
La soirée s’est terminée par un spectacle de danses de Céili : danses sur une musique traditionnelle avec un tempo rapide où seuls les pieds et les jambes bougent.
Merci à Francette, à l’équipe Havas, à notre guide et notre conducteur pour avoir rendu possible ce séjour.
Mireille Quintane

jeudi 27 juin
Jour 6 : Anneau de KERRY
Nous quittons notre hôtel à Tralee sous une pluie fine et un vent léger qui nous accompagneront toute la demi journée. Nous somme au sein du Comté de Kerry que ses habitants qualifient de plus beau ” Royaume ” du monde après celui de Dieu .
Le circuit s’appelle l’Anneau de Kerry et tourne autour de la péninsule d’Iverach. Il est réputé pour sa beauté et nous ne serons pas déçus. D’abord la traversée de Killorglin et sa célèbre foire aux boucs ; belle statue dans le village. Arrêt au Pub chez John où je bois mon premier (et peut être dernier) Irish Coffee ! Puis traversée de Caherciveen village de naissance de David O’Connell, célèbre parlementaire du XIXème siècle qui s’est battu pour l’indépendance, sans la connaitre .
Arrivée à Waterville où a séjourné Charlie Chaplin (statue). Arrêt sur la plage à gros galets.Il fait froid.
Nous déjeunons en route puis nous arrêtons à Sneem : charmant village où le Général De Gaulle a séjourné en 1969 après son échec au referendum. Nous longeons le Sillon Vert à Molls Gap avant de nous arrêter à Ladies View comme l’a fait la Reine Victoria : magnifique panorama sur les lacs en étage de Killarney au sein du Parc National du Kerry : fougères, chênes, rhodos géants, Ifs de 350 ans …
Arrêt aux magnifiques Jardins de Muckross que nous avons beaucoup de mal à quitter.
Cette région a eu la médaille d’Or du Ciel Sombre pour son absence d’excès d’éclairages artificiels .
Nous rejoignons Carrigaline à côté de Cork pour y passer la dernière nuit (anticipée …) du séjour.
Christian ROUX

vendredi 28 juin
Jour 7 : Ville de  CORK et sa région
Nous avons quitté notre magnifique hôtel CARRIGANE COURT pour démarrer notre journée par la visite panoramique de la ville de CORK.
C’est la 2ème ville avec 210 000 habitants dans le plus grand comté du pays. Elle se distingue avec son drapeau rouge et blanc, sa bière brune locale et ses ruelles tortueuses.
Ses habitants la considèrent comme la vraie « capitale », où les hauts dignitaires viennent s’y divertir, en témoigne cette célèbre photo de la reine Élisabeth en train de rire avec un poissonnier sur le marché anglais.
Michael COLLINS leader révolutionnaire, a fait de ce comté la «  République Populaire de Cork «, la plus militante pour l’indépendance.
La cathédrale protestante Sainte Anne se distingue par sa girouette en forme de saumon avec ses 126 marches jusqu’au sommet pour jouer un air avec les cloches.
Pour finir, sur le fleuve Lee qui traverse la ville, le TITANIC a fait sa dernière escale avant son naufrage.
Nous reprenons notre circuit pour aller visiter « MIDELTON DISTILLERY » du groupe PERNOD RICARD, le musée du whisky irlandais. Sa production est de 10 000 tonneaux par semaine, sa particularité est d’être distillé 3 fois avec comme base de l’orge germé ou non germé et parfois du maïs, de l’eau chaude à 64° avec une fermentation qui dure 5 heures, puis en ajoutant de la levure et du sucre on rentre dans la phase de distillation.
Elle utilise comme mode d’énergie du charbon ou du gaz, alors que le whisky Ecossais utilise de la tourbe ce qui lui donne plus d’amertume.
Je vais essayer de décomposer ces produits.
3 termes les différencient :
SINGLE MALT composé de 100 % d’orge malté, la référence en la matière.
SINGLE POT STILL  composé de 60 % d’orge malté, 40 % non malté.
UN BLEND WHISKY est un assemblage de whisky , de malt, de grains.

L’établissement est référencé par 3 appellations whisky
JAMESSON
Un blend pot still , maturé dans des anciens barils de bourbons ou de sherry
POWERS P GOLD LABEL
Un blend still maturé dans des anciens barils de bourbon.
GREEN SPOT
Single Pot Still maturé essentiellement dans des fûts de Sherry
Ces différences jouent sur le goût et sur le prix.
1 GIN
Alcool éthylique d’origine agricole et baies de genièvre

Pas de maturation, distillé 1 fois

La dégustation nous ayant bien ouvert l’appétit, nous nous dirigeons vers le restaurant.
Nous ne visiterons pas le rocher de Cashel, une gréve des employés de Air Lingus nous oblige à quitter l’Irlande par la mer au lieu des airs.
On peut remercier Francette et son équipe qui ont géré parfaitement cette situation inopinée. Vendredi à 18 heures nous avons pris le ferry à Rosslare pour Cherbourg après 17 heures de mer, le bus pour rejoindre Paris gare de Lyon, le TGV pour rejoindre Aix en Provence, et pour finir le bus pour rejoindre St GEORGES D’ORQUES.
Arrivée dimanche à 2 heures du matin.
Très beau voyage malgré ces péripéties.
Michel BEYNET

samedi 29 juin
Nous pensons avoir vu l’essentiel de l’Ile d’Emeraude avec ses 50 nuances de gris qui resplendissent au moindre rayon de soleil :
– les routes panoramiques avec leurs paysages grandioses et sauvages
– les immensités  couvertes de bruyères ou courent le vent et les nuages
– la muraille rocheuse des falaises de Moher battue par la tempête
– les cottages aux toits de chaume, les chaumières blanchies à la chaux, les maisons éclatantes de couleurs
– les belles plages où l’eau dépasse rarement 15°, la côte aux mille échancrures où les vagues se fracassent au pied des rochers
– les secrets de fabrication de la “Guiness” et du whisky
– les pubs où règne une ambiance extraordinaire autour d’une pinte
 et bien sur les fameuses boutiques de souvenirs où nul n’a échappé

Le retour un peu cahotique  dû à la grève d’Aer Lingus n’a pas trop  perturbé nos passagers malgré quelques moments de stress. La petite croisière en ferry a rassuré les personnes qui avaient peur de la mer.
J’espère que vous garderez un beau souvenir de ce voyage.
Francette

Merci à vous tous qui avez accepté de remémorer nos journées en Irlande

Merci à Jacques pour son reportage photos.
Ci-dessous le lien vers Google Drive.

 

2 réflexions sur « L’IRLANDE – 22 au 29 juin 2024 »

  1. C’est seulement aujourd’hui que je prends le temps de voyager et c’est grâce à vous, écrivains et photographe.
    Un grand merci.
    Myriam

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