LES POUILLES – 19 au 26 mai 2025

Bienvenue en Italie du Sud. Les Pouilles forment le talon de la botte. Elles sont réputées pour leur riche patrimoine culturel des villes blanchies à la chaux, leurs terres agricoles plantées d’oliviers centenaires et d’un littoral de 800 km de côtes situées entre la mer Adriatique et la mer Ionienne qui fait le bonheur des touristes.
Francette

lundi 19 mai 2025
Dès potron-minet, 44 vaillants voyageurs ont pris le bus jusqu’à Marseille puis l’avion vers notre destination : Les Pouilles en Italie.

Arrivés à Bari, capitale de cette contrée, nous avons fait connaissance avec Nicoletta et Grazziano, accompagnatrice et chauffeur de car pour la semaine. Les cheveux roses, la joie de vivre et son empathie ont fait de notre guide un personnage très apprécié du groupe.
Après un premier repas au restaurant R45 ou antipasti et pizza nous ont régalés, nous avons suivi notre guide Lella dans la vieille ville de Bari.
Notre déambulation nous a conduits à visiter l’église du 12ème siècle San Nicola, patron de la ville. Nous avons pris des ruelles pavées avec de très belles arches, différents monuments dont le château de Bari ou Castello Normanno Svevo et sur la place mercantile la colonne de la justice ou des infâmes du 16eme siècle qui servait de pilori pour les débiteurs insolvables.
C’ est avec plaisir que nous avons pris possession de nos chambres a l’hôtel Appia Antica à Corato. Un apéro de bienvenue autour de la piscine nous a permis d’échanger nos premières impressions. La restauration de qualité a contenté nos estomacs et ce très bel hôtel a assuré une première nuit de récupération.
Sylviane

mardi 20 mai 2025
Après un sommeil réparateur, la seconde journée, une des plus riches de ce voyage, fut consacrée à la visite de deux sites emblématiques : la petite ville de Trani et le Castel del Monte, sous la conduite d’un guide passionné maitrisant son sujet et parlant un français impeccable.
Trani, ne pouvant rivaliser avec Bari pour exercer l’autorité politique de la province, s’est attribué le pouvoir judiciaire et abrite les tribunaux.
On ne peut comprendre ces lieux et monuments sans évoquer en quelques mots deux personnages omniprésents : Saint Nicolas et l’empereur Frédéric II.
Le premier Saint Nicolas, non pas celui qui est célébré à Bari mais San Nicola Pellegrino, un jeune pâtre grec mort à Trani à l’âge de 19 ans en 1094, chassé par sa mère lassée de ses incantations obsessionnelles et qui, avant de rendre l’âme, réitéra le miracle de Cana en transformant son verre d’eau en vin doux parfumé et réalisa d’autres exploits post mortem qui lui valurent une canonisation et un culte local.
Le plus beau monument de Trani, la cathédrale du XIIIème siècle de style roman dit « apulien », soit un savant mélange d’art normand et byzantin, lui est consacré, remarquable notamment par sa crypte, ses portes en bronze et son élégant campanile qui servait d’amer aux navires de commerce.
Le second héros qui a marqué toute la région, Frédéric II de Hohenstaufen, descendant des souabes allemands par son père aussi bien que du roi normand de Sicile par sa mère, se retrouva empereur du Saint-Empire romain germanique et roi de Sicile à la suite d’innombrables mariages, complots, combats et excommunications prononcées par les papes successifs en raison de rapports conflictuels. Ces épisodes nécessiteraient plusieurs pages pour être détaillés mais ont assuré la domination germanique sur l’Italie méridionale jusqu’à la moitié du XIIIème siècle.
Nous avons retrouvé Frédéric II tout au long de la matinée, d’abord à la forteresse qu’il a érigée face à la mer entre ses quatre tours massives, puis dans la vieille ville et le quartier juif dont les habitants chassés d’Espagne avaient été accueillis par l’empereur.
Un petit tour dans le petit port naturel et ses barques bleues de pêcheurs, quelques rafraichissements ou ristrettos sur les terrasses, un bon déjeuner et en route vers la seconde étape très attendue de la journée : Castel del Monte, construit par Frédéric II et inscrit au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1996.
Cet édifice est une énigme. Personne jusqu’ici n’a été en mesure de déterminer sa fonction. Son architecture permet juste de savoir ce qu’il n’est pas : ni une forteresse défensive, ni un bâtiment religieux, ni un lieu de séjour ou pavillon de chasse dédié aux loisirs de l’empereur.
Sa caractéristique essentielle consiste en sa forme octogonale, chacun des huit côtés étant flanqué de tours elles mêmes octogonales rappelant le modèle mathématique des fractales. Cette forme rare aurait été inspirée par la mosquée d’Omar à Jérusalem que Frédéric avait longuement observée lors de sa croisade.
Faute d’explication rationnelle, il faut s’en remettre à des symboles plus ou moins ésotériques, à commencer par le chiffre 8 qui représente l’infini, l’octogone impérial occupant une situation intermédiaire entre le carré propre au commun des mortels et le cercle divin qui n’est qu’un polygone dont le nombre de côtés tend vers l’infini.
Chacun se fera son opinion sur ces interprétations un peu tirées par les cheveux mais ce monument bâti au sommet d’une colline dominant une vaste plaine exprime avant tout une volonté de puissance. C’est peut-être là sa seule fonction.
La dernière étape de cette journée bien remplie fut la visite d’une cave exploitant un vignoble de plusieurs centaines d’hectares, témoignant de l’esprit industriel des italiens avec un équipement dernier cri. Bien entendu, cette visite s’est terminée par une dégustation très appréciée des différents cépages.
Patrick Zurlinden

mercredi 21 mai 2025
De la blanche Monopoli à la grotte mystérieuse de Castellana
Sous un grand soleil, entre Bari et Brindisi, baignée par l’Adriatique, Monopoli offre son calme blanc et sa richesse authentique. Après un trajet en car où Grazziano, notre chauffeur, évita avec dextérité quelques embûches de la circulation, Nicoletta nous présenta Claudia, la guide du jour, qui déclama avec passion l’étendue de sa connaissance et de son amour des lieux.

Malgré ses 50 000 habitants, Monopoli a gardé l’atmosphère d’un village de pêcheurs de tradition ancestrale et de douceur de vivre. En se dirigeant vers la ville, on passe par la place Garibaldi, avec ses terrasses de bars et de restaurants. Le paese vecchio, ou centre historique, est un charmant labyrinthe de petites rues ombragées, aux maisons blanchies à la chaux. Bijou d’architecture populaire mêlée à des édifices religieux et à des palais, Monos-polis (la ville unique, en grec) a subi tout au long de son histoire les occupations des Normands, Byzantins, Suèves et Vénitiens avant d’être annexée au royaume d’Italie en 1860.
Au gré de notre promenade, nous découvrons la basilique-cathédrale Maria Santissima della Madia. Issue d’une basilique paléochrétienne, elle offre au regard ses marbres polychromes mêlant styles roman et baroque. La façade romane, simple et harmonieuse, contraste avec l’intérieur opulent baroque, son double maître autel, son double transept (nef transversale) et ses fresques. Le clocher de 80 mètres de haut et la chapelle de la Madia renforcent son attrait. Ce monument de génie architectural est aussi un havre spirituel et un symbole de l’identité monopolitaine. A côté, nous passons devant l’église Santa Maria del Suffragio, dite du Purgatoire, dont l’entrée présente des niches contenant les corps des prêtres qui y officièrent.
Beaucoup moins fréquentée que ses voisines Polignano a Mare et Alberobello, Monopoli offre un doux parfum d’authenticité et de tradition qui nous laisse imaginer sa douceur de vivre.
Après un déjeuner très apprécié au restaurant, direction Castellana et ses grottes aux formations d’albâtre, riches d’extraordinaires phénomènes karstiques, de carbonate de calcium issu du calcaire, aux lacs souterrains et aux cavernes vieilles de 80 millions d’années, habitées aux temps préhistoriques.
Au fil des millénaires, les eaux, en s’infiltrant lentement entre les roches calcaires du sous-sol, à travers d’innombrables fractures, gravines, cuvettes et dolines, ont dessiné un réseau de souterrains, cavernes et gouffres parmi « les plus étendus et les plus beaux du monde », selon Nico, le guide du lieu. Dans les entrailles de la terre, à 60 mètres sous la surface, il nous fait découvrir un autre monde, de silence humide et de mystères insondables. Les concrétions cristallines (stalactites et stalagmites) laissent notre imagination vagabonder dans une sorte d’aventure intérieure. Le temps a façonné ce site dont la majesté nous ramène à notre condition d’humains minuscules face à la nature qui, ici comme ailleurs, nous rappelle qu’elle gagne toujours.
En retrouvant la lumière, nos yeux garderont imprimés dans nos cerveaux quelques instants fugaces, intimes, nous appelant peut-être à une réflexion plus profonde, c’est le cas de le dire, sur notre finitude. Le retour vers la civilisation, et l’hôtel, sera rempli d’images fortes et d’un bonheur lumineux. Quelle belle journée !
Luc Danos.

jeudi 22 mai 2025
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1996, Alberobello est une petite ville Italienne très célèbre pour ses Trulli, petites maisons basses à base ronde de pierre sèche blanchies à la chaux, avec un dôme conique de pierres plates grises.

1600 trulli font d’Alberobello, la capitale des Trulli.
A l’origine, ces petites maisons servaient d’abri pour les paysans qui travaillaient dans leurs champs, puis ensuite d’habitations, car ils disposaient de citernes de récupération d’eau de pluie.
Tout au long des rues envahies de touristes, vous pouvez voir qu’elles sont devenues des boutiques, des restaurants…..etc….
Ostuni : Cette ville blanche de 30 000 habitants est bâtie sur 3 collines.
Au cœur d’OSTUNI, Piazza de la Liberta, se trouve une colonne du 18ème siècle, statue de Saint ORONZO réputé pour avoir sauvé la ville de la peste en 1657, à côté, l’église de St François d’Assise et St Antoine de Padoue
Toutes les maisons blanchies à la chaux comme désinfectant à limité le nombre de pertes humaines, de plus le blanc donnait une belle luminosité dans les petites rues tortueuses de la ville.
Dégustation d’huile d’olive

C’est dans la propriété IL FRONTOLIO de d’Amico Pietro, propriété 400 hectares et 6000 oliviers que nous avons dégusté différentes huiles dont certaines aromatisées avec miel, ail, poivrons, gingembre, citron, etc….
Avec 100 kg d’olives, on obtient 1 litre d’huile extra vierge première pression à froid : la meilleure.
Toujours avec 100 kg d’olives on obtient 13 à 14 litres d’huile ordinaire. 
Les olives sont travaillées et les huiles produites dans des machines ALFA LAVAL, marque Française !
Roselyne Brisset

vendredi 23 mai 2025
Nous quittons notre hôtel pour ALTAMURA où une visite guidée est prévue.
Cette cité médiévale a été bâtie sous l’Empire romain germanique, cependant des
traces d’occupation remontent au néolithique. Il reste d’ailleurs des parcelles de
mur mégalithique datant du IVème siècle avant notre ère.
La ville actuelle d’Alta Mura, littéralement Haut Mur, a été fondée sur décision de
Frederic II de Souabe sur les ruines de l’ancienne Lupatia.
Notre déambulation nous amène au gré des ruelles au four Santa Caterina qui date
de 1391 toujours en fonction puisqu’on cuit encore le Pain et la focaccia. A l’époque
il était interdit de faire son pain dans des fours privés.
Le pain d’Alta Mura a obtenu une AOP (Appellation d’Origine Protégée) en 2003.
Nos pas nous guident ensuite jusqu’à la cathédrale Di Santa Maria Assunta qui est
l’un des sanctuaires les plus vénérés des Pouilles. La cathédrale fut inaugurée en
1254 et est dédiée à l’Assomption de la Bienheureuse Marie.
Sant’Irene, patronne de la cité est honorée le 5 mai.
Nous quittons Alta Mura, sans y avoir croisé l’Homme, pour MATERA en Basilicate,
région limitrophe des Pouilles.
Arrivée pour le déjeuner, antipasti pour tous, nous sommes bien en Italie !
Puis visite guidée de la cité troglodyte connue pour ses célèbres «Sassi» ou Sassi
di Matéra, habitat troglodyte classé au patrimoine mondiale de l’humanité, la ville
est considérée comme l’une des plus vieilles cités habitées au monde puisque dès
le néolithique, des grottes y étaient aménagées et occupées par des populations
chassées du littoral. Les grecs, les romains, les normands et d’autres encore ont
occupé les lieux.
A partir du 8ème siècle, les moines byzantins viennent s’installer dans cet endroit
isolé. De nombreuses grottes attestent encore aujourd’hui de cette présence.
La ville connait un essor considérable pendant la présence normande.
La population s’accroit mais progressivement la ville perd de son rayonnement et
les Sassi et leurs habitants démunis et occupant les lieux par défaut, sont
méprisés. Les familles toujours nombreuses, six enfant et plus, vivent dans cette
unique pièce, sans eau ni évacuation, avec les animaux domestiques. Les grottes
furent habitées jusqu’en 1952, date à laquelle le gouvernement déclara ces
habitations (vieilles de 7000 ans) insalubres, et mis en place un vaste programme
de restauration.
Visite de la Casa Grotta, reconstitution fidèle de l’époque où les grottes étaient
habitées.
La ville possède encore aujourd’hui de nombreuses églises mises en valeur par de
vastes projets d’aménagements mais c’est aussi une ville aimée pour son charme
et sa douceur de vivre. De nombreux films y furent tournés comme le chef d’oeuvre
de Pasolini « l’Evangile selon Saint Matthieu » en 1964 mais aussi « La Passion du
Christ » de Mel Gibson en 2004 ou encore « Mourir peut attendre » dernier James
Bond où apparait Daniel Craig en compagnie de Léa Seydoux.
Poursuite vers la région de Tarante et installation à l’hôtel sur la mer Ionienne.
Marylène et Patrice Deligne

samedi 24 mai 2025
Nous sommes arrivés à Tarente par le pont tournant Girovola qui relie la vieille ville et la ville neuve. D’un côté il y a la petite mer ( élevage des moules) de l’autre la grande mer où se trouvent  le complexe pétrolier, les éoliennes et le port.

Après un bref coup d’œil au Castello Aragonèse ( à l’emplacement de fortifications Byzantines érigées par Ferdinand 1er d’Aragon) nous rejoignons la grande promenade qui a vue sur les îles St Pierre et St Paul.  Déambulation dans la vieille ville….L’ancien couvent  St François  d’Assise est devenu l’Université Aldo Moro . En passant devant le Tribunal on peut encore voir l’endroit où on pouvait déposer les bébés abandonnés…
Direction la Cathédrale consacrée à Cataldo St patron de Tarente. La nef principale se distingue par son plafond en bois à caissons du 17e siècle.  Ensuite visite de la crypte.
De nombreux Palais délabrés (qui gardent leurs charmes ) ponctuent notre promenade et nous finissons par des ruelles( typiques dans l’Italie du sud…..) qui nous amènent au restaurant avant de rejoindre Lecce l’après midi .
Danielle & Nelly

Lecce : joyau précieux du Salento a pour symbole le loup à l’origine de son nom (lupiae).
La domination romaine a duré 2 siècles. Dans cette ville, domine la luminosité de la pierre de Lecce aux couleurs chaudes et variantes. Les merveilles du baroque coexistent avec les vestiges de l’époque romaine.
Notre visite commence par la partie moderne. Non loin de la porte de Napoli au blason de Charles Quint se trouve l’obélisque magnifiquement décorée.
Lecce est également la ville aux cents églises.
 Nous nous dirigeons vers la vieille ville. La cathédrale de l’Assomption se distingue par son architecture baroque exceptionnelle du xvème siècle. C’est l’une des cathédrales les plus importantes de l Italie du Sud et aussi le siège de l’archevèché.
Nous déambulons dans les rues pavées glissantes et commerçantes bordées de magasins de souvenirs, de boutiques, de belles façades, d’hôtels particuliers de terrasses, d’ateliers d’art, notamment le papier mâché, activité artisanale importante de la ville.
Nous continuons notre visite et arrivons à la Piazza del Duomo construite par les Normands. C’est une rare place fermée entourée de monuments.
On distingue un ancien couvent, une église dédiée à Ste Irène patronne de la ville et la colonne romaine de San Oronzo. Le campanile de plus de 70m offre une vue
panoramique. Puis, nous arrivons à la basilique Santa Croce à l’élégante et riche façade dédiée aux moines Célestin. Le précieux travail des artisans et des sculpteurs, le génie créatif des architectes et l’emploi de la pierre de Lecce ont exprimé au mieux leur art. La grande rosace est richement décorée ; un véritable joyau du baroque de Lecce.
Notre visite se termine à l’amphithéâtre romain construit sous l’empereur Hadrien au 2ème siècle et qui pouvait accueillir plus de 25 000 spectateurs.
Nous regagnons doucement (sans courir) notre bus comme nous le recommandait journellement NIcoletta aux cheveux roses.
Juliette Mabru

dimanche 25 mai 2025
Nous quittons notre hôtel de bord de la mer Ionienne avec regret et faisons connaissance avec Domenico, notre nouveau chauffeur. Il nous amène en moins d’une heure à Locorotondo, village classé parmi ” les plus beaux villages d’Italie “. Perché sur une colline, notre bus ralentit pour profiter de la vue panoramique. Margueritta  notre guide, nous accueille et nous déambulons dans les rues très fleuries qui nous rappellent les îles grecques.
Nombreuses chapelles et églises évoquent les 2 Saints patrons du village : Saint Georges et Saint Roch … Nous ne sommes pas dépaysés !

Les 10 000 habitants de ce village célèbrent la communion de leurs enfants, ce qui retarde la visite de l’église et …remplit le restaurant Il Sagittario où nous déjeunons.
Puis nous partons vers Polignano a Mare, dite Perle de l’Adriatique … Gaïa, la guide nous accueille et nous longeons, de belvédère en belvédère, les impressionnantes falaises calcaires qui surplombent les eaux très agitées de la Mer Adriatique et supportent cette ville de 17 000 habitants ; un vent violent illustre bien le succès mondial de la chanson VOLARE de Domenico Modugno qui a rendu célèbre cette ville dans les années 50. C’est aussi une capitale des Gelatti dont certains se sont délectés …Les italiens et les touristes sont de sortie, il y a un monde fou dans les rues !
Nous regagnons ensuite Bari et notre hôtel de début de séjour pour une dernière soirée ; peu de monde au bar le soir car il va falloir partir à …2h50 du matin pour rejoindre l’aéroport !!
Christian ROUX

Nous avons rapporté de très bons souvenirs des Pouilles non seulement dans les valises (pâtes, huiles, céramiques, etc.) mais aussi des souvenirs de paysages magnifiques et pittoresques, de villages médiévaux authentiques, d’oliveraies luxuriantes. Nous avons également découvert une cuisine savoureuse. Un très beau voyage que je recommande à ceux qui n’ont pas pu être des nôtres.
Francette

Merci à nos journalistes d’un jour
et à Jacques pour son diaporama.